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sábado, 26 de novembro de 2011

General José Inácio de Abreu e Lima – O General das Massas.




Gen. José Inácio de Abreu e Lima – o General das Massas.

Importante referência na História do Socialismo no Brasil.



JB SIQUEIRA NETO
 

Nasceu em 6 de abril de 1794, em Pernambuco.

Filho de José Inácio Ribeiro de Abreu e Lima , o padre “Roma” da insurreição de 1817, que foi fuzilado pelo governo em 29 de março de 1817.

Mesmo sendo filho de um revolucionário, que agiu contra o governo, Abreu e Lima não foi prejudicado nem pelo governo colonial nem pelo Governo Imperial. Cursou a Academia Real Militar de onde saiu oficial em 1816.

Teve uma vida sempre envolvida com revoltas e insurreições de caráter popular, visando sempre uma sociedade mais justa.

Esteve na Venezuela onde integrou as forças revolucionárias lideradas por Simon Bolivar.

Desiludiu-se com os revolucionários hispano-americanos e partiu para Europa em exílio voluntário da mesma forma que Bolívar e San Martin. Esteve nos Estados Unidos, onde já estivera antes, e depois voltou para a Europa onde, em Paris, em 1831 conheceu Dom Pedro I.

Abreu e Lima retorna finalmente ao Brasil em 1832, e é reconhecido pela Regência e pela Assembléia Geral (como era conhecido o Congresso, na época) como General do Exército e tem restituídas as comendas que recebera antes.

Segundo Abreu e Lima, “o Socialismo não é uma ciência, nem uma doutrina, nem uma religião, nem uma seita, nem um sistema, nem um princípio, nem uma idéia”. ...”Em que consiste o socialismo? na tendência do gênero humano para tornar-se (sic) uma só e imensa família”.

Abreu e Lima faleceu em 8 de março de 1869.

Deixou escritos (pelo que constatei) dois livros: um “Compêndio de História do Brasil”, publicado em 1843 (dedicado a Dom Pedro II) e “O Socialismo”, publicado em 1855.



Para maiores detalhes, consultar o livro “História das idéias socialistas no Brasil”, de Vamireh Chacon, edição conjunta da UFC e Edit. Civilização Brasileira, Fortaleza/Rio de Janeiro – 1981.



quarta-feira, 23 de novembro de 2011

Voici le pacte de famille du 26 avril 1909 dans son intégralité.




JB SIQUEIRA NETO


Voici le pacte de famille du 26 avril 1909 dans son intégralité.



Fabien



" Philippe, duc d'Orléans, chef de la Maison de France, à tous ceux qui ces présentes verront Salut :

Considérant qu'il importe à Notre Maison de mettre fin à un différend qui dure depuis plusieurs années et qu'il est de Notre devoir de saisir l'occasion qui s'offre à Nous de le faire et d'éviter ainsi pour toujours une difficulté possible concernant l'accession à la Couronne de France.

Vu la lettre que Nous a fait remettre Notre très cher Oncle le Comte d'Eu dans laquelle il Nous adresse ses demandes et formule les engagements que lui et les siens prendraient si ces demandes lui étaient accordées.

Vu l'avis unaniment exprimé par les Princes de Notre Maison.

Considérant d'autre part que la Maison Royale de France est en tout temps la principale, mais actuellement, en l'état présent des choses, la seule gardienne de sa Tradition et aussi de ses Droits, qu'en conséquences elle peut et doit régler elle-même les questions qui se présentent et qui intéressent son Droit Traditionnel et que lorsqu'après un mûr examen, après s'être entouré de toutes les garanties nécessaires, animé du seul désir de sauvegarder ses légitimes intérêts, de maintenir la Tradition et le Droit de faire justice, elle se prononce sur ces questions par l'organe de son chef, sa décision s'impose à tout Prince et adhérents, autant que le pourrait faire un texte de loi.

Considérant que telles sont les conditions de la circonstance présente :

Nous avons déclaré et déclarons ce qui suit :

1 - Notre très cher Oncle le comte d'Eu, reconnaissant dans la note qu'il Nous a fait donner que ses trois fils, issus de son mariage célébré en 1864, avec la Princesse Impériale Isabelle, alors héritière immédiate au Trône du Brésil, sont membres de la Maison Impériale du Brésil et qu'eux et leurs descendants constituent une Maison distincte de l'ensemble des branches de la Maison d'Orléans, composant actuellement la Maison de France, Nous demande de reconnaître en France, à ces Princes et à leur descendance masculine, princière et légitime, les Honneurs des Princes de la Maison de France.

Il nous a été d'autre part représenté, pour motiver cette demande, qu'il pourrait arriver que la succession féminine admise au Brésil fit sortir la Couronne du Brésil de la descendance masculine du Comte d'Eu et éloignât assez ladite descendance de l'accession à la Couronne Brésilienne pour que la qualité de Princes Brésiliens ne leur fut plus reconnue et qu'ils perdissent ainsi toute qualité princière.

Voulant obvier à une telle possibilité pour des Princes masculinement et si récemment issus de Notre Maison.

Voulant aussi leur assurer, dans la mesure où Nous le pouvons et la qualité princière et les Honneurs des Princes de la Maison de France.

Voulant également - et il nous plaît - leur donner ainsi qu'à Notre très cher Oncle, le comte d'Eu, un gage de Notre affection de bon et proche parent, et un témoignage de Notre confiance dans la loyauté des engagements qu'ils prennent solennellement ici et auxquels est lié ce que nous leur accordons.

Nous reconnaissons au comte d'Eu, à ses trois fils et à leur descendance masculine, princière et légitime, outre les Titres d'Altesses Impériales ou d'Altesses qui leur appartiennent de droit, le Titre d'Altesses Royales.

Nous reconnaissons aux troifs fils du Comte d'Eu et à leur descendance masculine, princière et légitime les Titres de Princes et Princesses d'Orléans et Bragance.

2 - Nous reconnaissons selon la demande à Nous faites par le comte d'Eu, les susdits Princes, fils du Comte d'Eu présentement idoines à la Collation de Titres Princiers Franÿais [sic] à l'exclusion des Titres d'Apanages. Celle collation dépendant toutefois uniquement de Notre Volonté et celle de Nos Successeurs.

3 - Nous maintenons et confirmons Notre note du 15 juillet 1901 en tant qu'elle constate l'ordre d'accession à la Couronne et règle les rangs et préséances à observer dans toutes les cérémonies ayant un caractère officiel, politique ou national français. - Cela déclaré, Nous consentons volontiers à la demande de Notre Oncle, le Comte d'Eu au sujet des réunions ou cérémonies de famille, en ce sens que lorsque la réunion ou cérémonie sera exclusivement familiale ou bien lorsque Nous aurons décidé qu'on devra prendre rang non par ordre d'accession à la Couronne, mais par rang de parenté, soit par rapport à Nous-même, soit par rapport aux Personnes Princières vivantes ou défuntes auxquelles il s'agirait de rendre honneur, le Comte d'Eu ainsi que sa postérité masculine, princière et légitime pourront prendre le rang que leur assignera cette parenté, ainsi que cela a déjà eu lieu pour d'autres parents ou alliés de Notre Famille, y compris des non princes et des princes de Maison [sic] Souveraines Etrangères.

4 - Le Comte d'Eu et ses fils s'engagent ici solennellement pour eux et leurs descendance [sic] à ne faire valoir de prétentions à la Couronne de France et à la position de Chef de la Maison de France qu'en cas d'extinction totale de toutes les branches princières françaises composant actuellement la Maison de France. Nous prenons acte de cet engagement solennel qui aura son effet et sera établi par l'apposition des signatures de ces Princes à Notre présente Déclaration.

Nous déclarons cet engagement ainsi inviolable, aussi ferme et inébranlable que s'il eut été pris avec Serment devant une Assemblée compétente de la Monarchie.

5 - Le Comte d'Eu et ses fils s'engagent également en leur nom et au nom de leur descendance à ne point contester à la branche du Duc d'Alençon la possession du Titre de Duc de Nemours.

Nous déclarons tout ce qui est ci-dessus convenu et arrêté ferme et stable à toujours quelques circonstances qui puissent survenir.

En foi de quoi Nous reconnaissons Notre présente Déclaration de Notre Seing et du Sceaux de Nos Armes et Nous la faisons signer par tous les Princes participants.

Et sur une expédition originale de Notre présente Déclaration remise à Chacun des Princes Nos Oncles.

Fait à Bruxelles le vingt sixième jour du Mois d'Avril de l'an de grâce mil neuf cent neuf.





Philippe

Duc de Montpensier Gaston d'Orléans

Robert d'Orléans Pierre d'Orléans et Bragance

Jean d'Orléans Louis d'Orléans et Bragance

Ferdinand d'Orléans Antoine d'Orléans et Bragance

Emmanuel d'Orléans

Pierre d'Orléans"



In : Ph. de Montjouvent, Le Comte de Paris et sa descendance, pp. 432-35.







segunda-feira, 21 de novembro de 2011

Cemitério dos Pretos Novos destaca colossal dimensão da escravidão no Rio

Um drama sob o chão da cidade

Análise do Cemitério dos Pretos Novos destaca colossal dimensão da escravidão no Rio

Ana Lucia Azevedo
O GLOBO


Publicado:

19/11/11 - 9h00

Atualizado:

19/11/11 - 17h10





A obra "Enterro de uma negra" mostra a importância do funeral na cultura dos escravos

Reprodução



Sepultada por toneladas de terra e séculos de esquecimento, jaz no Centro antigo do Rio, uma dolorosa memória da escravidão. São os resquícios do Cemitério dos Pretos Novos, cimentados sob os bairros da Gamboa e da Saúde. Eles reaparecem aos poucos, em escavações, análises de ossos, dentes e objetos. Cada um deles revela um pouco mais de uma história que assombra pelas dimensões da crueldade e da ambição que trouxeram da África milhões de escravos para o Rio. Uma dessas análises foi concluída este ano e confirma a tese de que a cidade foi um dos maiores portos de entrada de escravos das Américas.



Pessoas escravizadas originárias de quase todas as partes da África chegavam ao Rio e daqui podiam ser levadas para o restante do país. Muitas não resistiam às condições desumanas da travessia do Atlântico ou do mercado de escravos do Rio e eram enterradas perto do porto. O termo enterro é, de fato, um eufemismo. Os corpos eram abandonados à decomposição ou queimados.



Nos anos 1990, alguns desses corpos foram encontrados durante a reforma de uma casa na Rua Pedro Ernesto, na Gamboa. Arqueólogos do Instituto de Arqueologia Brasileira fizeram ali em 1996 um resgate do que fora acidentalmente exposto, publicando depois os primeiros estudos. Mas foi só este ano que cientistas concluíram uma análise mais detalhada dos dentes e ossos. Um trabalho de detetive, com tecnologia moderna, para investigar um drama de quase 200 anos. Apoiada pelo CNPq e pela Faperj, a pesquisa reuniu cientistas da Escola Nacional de Saúde Pública (Ensp/Fiocruz), do Museu Nacional/UFRJ, do Laboratório Geochronos da UnB e da Universidade de Indiana, nos EUA.



— Há vestígios de 30 pessoas. Estão muito degradados — diz Sheila Mendonça, bioantropóloga da Ensp.



O DNA, de tão degradado, por enquanto nada revelou. Mas os pesquisadores recorreram a uma técnica diferente e menos conhecida pelo público. Chamada de análise de isótopos de estrôncio, ela mede a proporção desse elemento químico nos dentes. É uma espécie de DNA geoquímico. O estrôncio é um metal de nome estranho e características curiosas. Essas proporções são assinaturas geoquímicas que dependem das características das rochas de uma dada região.



— A análise do estrôncio do esmalte dos dentes permanentes, que são formados na infância e não se remodelam, revela um indício de onde viveu uma pessoa nos primeiros anos de vida — explica Ricardo Ventura Santos, coordenador do grupo, da Ensp e pesquisador do Setor de Antropologia Biológica do Museu Nacional.



A diversidade geológica na África compreende quase toda aquela existente no planeta. O estrôncio extraído dos dentes das pessoas enterradas no Cemitério dos Pretos Novos reflete essa diversidade planetária.



— As pessoas ali vieram de todas as partes da África. Nosso estudo reforça como o tráfico de escravos era uma prática espalhada pelo continente africano. Indica também as monumentais dimensões do tráfico realizado pelo porto do Rio — destaca Ventura.



O Cemitério dos Pretos Novos foi criado pelo Marquês do Lavradio em 1760. Por 70 anos, funcionou ali uma fábrica de horrores. O marquês se viu obrigado a abrir um novo cemitério depois que o porto de escravos foi transferido da Praça XV para o Valongo (atual Rua Camerino).



— Temos que levar em conta que nosso conceito moderno de cemitério não se aplica ao que existia àquela época. O Cemitério dos Pretos Novos consistia em um lugar cercado, onde os corpos eram queimados ou deixados insepultos. Covas eram abertas e corpos, empilhados — explica Sheila.



Os pesquisadores calculam que lá tenham sido enterradas, pelo menos, de 20 mil a 30 mil pessoas. O Cemitério dos Pretos Novos era o destino de muitos dos que já chegavam doentes. Ele podia ser avistado do porto e do mercado de escravos do Valongo, para horror dos cativos. O cemitério passou a receber os enterros antes destinados ao Largo de Santa Rita, em frente à Igreja de Santa Rita.



— Não existem estimativas da taxa de mortalidade dos escravos que chegavam ao porto, mas sabemos que deveria ser elevadíssima. Um dos aspectos importantes das pessoas enterradas lá reside no fato que, ao que tudo indica, apenas 5% das pessoas enterradas lá não eram escravas. Isso torna o Cemitério dos Pretos Novos o mais africano do Brasil — diz Sheila.



Ela, Ricardo e outros pesquisadores, incluindo Murilo Quintans Bastos e Roberto Ventura, da UnB, buscam pistas sobre as origens dessas pessoas mortas pouco após o desembarque. Com as histórias dos mortos esperam dar vida a um dos menos conhecidos capítulos da história da escravidão no Brasil.



Depois que o cemitério foi fechado (por motivos “sanitários” e legais, já que o tráfico de escravos foi proibido), a cidade começou a aterrar o pântano e a praia. Terra e areia cobriram os restos dos mortos e a memória. A Rua do Cemitério, por exemplo, hoje chamase Pedro Ernesto.



Até agora, nunca houve escavações contínuas na região dos Pretos Novos. O material analisado é resultado do trabalho da bioarqueóloga Lilia Cheuiche Machado, do IAB. Lilia observou que a maioria dos mortos era de homens jovens, inclusive crianças.



— Todo o material que analisamos vem de quatro buracos. Os ossos estavam misturados — analisa Sheila.



Das 30 pessoas, só duas estavam fora do padrão esperado. Um era um homem mais velho, que poderia viver no Rio há mais tempo, e outro talvez não fosse africano.



— Todos os demais eram africanos recém-chegados. Um dos aspectos que nos chamou a atenção foi encontrar dentes com sinais de polimento — observa Sheila.



O polimento é fruto de uma forma de higiene oral praticada por muitos povos africanos.



— Esse polimento era resultado da mastigação de plantas específicas, funcionava como pasta de dentes. Mas só há sinais da prática em recém-chegados. Depois, elas não tinham mais como limpar os dentes dessa forma e os sinais desapareciam. Alguns dos que analisamos possuíam sinais bem claros, indicando que deveriam ter chegado há pouco tempo — frisa Sheila.



Ao analisar marcas de polimento talvez seja possível identificar que espécies eram usadas, onde existiam e, assim, de onde veio a pessoa que as utilizavam. O trabalho continua. Mas será fundamental que escavações revelem mais restos mortais e busquem reconstruir outros dramas pessoais integrantes de um dos mais dolorosos momentos da história do Brasil.



COMANDANTE DO CIAGA ALMIRANTE DIBO, ACOLHE PLEITO DE ABRIGAR A ESTÁTUA DO VISCONDE DE MAUÁ NA EFOMM



A Sociedade Memorial Visconde de Mauá e o Diretório Monárquico do Brasil visitaram o Contra-Almirante Rodolfo Frederico DIBO -  Comandante do "Centro de Instrução Almirante Graça Aranha" (CIAGA), que de plano acolheu o pleito de abrigar nas instalações da Escola de Formação de Oficiais da Marinha Mercante (EFOMM)  a estátua do Visconde de Mauá e conserva-la até que a Praça Mauá seja reformada, ou seja, ao término das obras do Porto Maravilha.

Presentes a reunião o Chanceler Eduardo André Chaves Nedehf Marquês de Viana sua mãe D. Francisca Chaves Nedehf Marquesa de Viana, tetraneto e trineta de Mauá, Dr. Paulo Fernando de Albuquerque Maranhão Secretário-mor do Memorial, Conselheiro Marcelo Roberto Ferreira que também representou o Diretório Monárquico do Brasil na qualidade de Diretor Jurídico e do Comandante Carlos Eduardo Lima.



Aproveitou-se o momemto para visitar o busto de Mauá que é patrono da Marinha Mercante Brasileira feito por Decio Villares em 1898, inaugurado em 1980 no CIAGA por iniciativa do Conselheiro Marcelo Roberto Ferreira quando servia na EFOMM.



MÉRITO MAUÁ DA ACRJ OUTORGADA AO CIAGA


ESTÁTUA DE MAUÁ, JOGADA NUM CANTO DA FÁBRICA DE ASFALTO DA PREFEITURA DO RIO DE JANEIRO ! . . .

http://noticias.r7.com/blogs/hildegard-angel/2011/11/21/uma-historia-triste-em-quadrinhos-de-um-luminar-da-historia-jogado-no-lixo/


Este é o estado atual da estátua do grande empreendor, industrial, banqueiro, pioneiro da estrada de ferro no Brasil.

Jogada ao lixo num canto da Fábrica de Asfalto da Prefeitura do Rio, próximo da Leopoldina.

Esta estátua inaugurada por nossa família em 13 de maio de 1910 na Praça Mauá, na presença de várias autoridades brasileiras e estrageiras, para indicar alí marco inicial da primeira ferrovia no Brasil inaugurada no distante dia 30 de abril de 1854. Fundou Mauá em 1852 a Imperial Cia. de Navegação a Vapor Estrada de Ferro de Petrópolis depois rebatizada por ele em 1874 com o nome de Cia. Estrada de Ferro Príncipe do Grão-Pará, saindo numa barca dalí do pier Mauá desembarcava-se no pier da praia de Mauá em Magé na Estação de Guia de Pacobaiba embarcava-se no Comboio indo via Inhomirim, Fragoso, Raiz da Serra até a cidade de Petrópolis.

Este homem que tanto fez pelo Brasil, ferrovias, companhia de Gás, Telégrafo Submarino ligando o Brasil ao resto do Mundo, salvou varias vezes a Nação da falência, embora TODOS tenham negado ajuda quando ele precisou, deu até seus óculos para honrar suas dividas.

O sr. Prefeito Eduardo Paes manda destruir a única homenagem que esta terra fez ao grande brasileiro. Até a bengala da estatua foi roubada!

Nós descendentes não temos força para lutar pedimos vossa ajuda para divulgar e denunciar esta injustiça.



Eduardo André Chaves Nedehf Marquês de Viana - tetraneto

Francisca Chaves Nedehf Marquesa de Viana - trineta

Dr. Jorge Paes de Carvalho - trineto

Clarisse Sampaio Vianna - trineta

 










domingo, 20 de novembro de 2011

CRUZ E SOUSA, PRECURSOR DO SIMBOLISMO NO BRASIL




WIKIPÉDIA

João da Cruz e Sousa (Nossa Senhora do Desterro (atual Florianópolis), 24 de novembro de 1861 — Estação do Sítio, 19 de março de 1898) foi um poeta brasileiro.



Alcunhado Dante Negro e Cisne Negro.

Foi um dos precursores do simbolismo no Brasil.



Biografia

Filho dos negros alforriados Guilherme da Cruz, mestre-pedreiro, e Carolina Eva da Conceição, João da Cruz desde pequeno recebeu a tutela e uma educação refinada de seu ex-senhor, o Marechal Guilherme Xavier de Sousa - de quem adotou o nome de família, Sousa. A esposa de Guilherme Xavier de Sousa, Dona Clarinda Fagundes Xavier de Sousa, não tinha filhos, e passou a proteger e cuidar da educação de João.

Aprendeu francês, latim e grego, além de ter sido discípulo do alemão Fritz Müller, com quem aprendeu Matemática e Ciências Naturais.



Em 1881, dirigiu o jornal Tribuna Popular, no qual combateu a escravidão e o preconceito racial. Em 1883, foi recusado como promotor de Laguna por ser negro. Em 1885 lançou o primeiro livro, Tropos e Fantasias em parceria com Virgílio Várzea. Cinco anos depois foi para o Rio de Janeiro, onde trabalhou como arquivista na Estrada de Ferro Central do Brasil, colaborando também com o jornal Folha Popular. Em fevereiro de 1893, publica Missal (prosa poética baudelairiana) e em agosto, Broquéis (poesia), dando início ao Simbolismo no Brasil que se estende até 1922. Em novembro desse mesmo ano casou-se com Gavita Gonçalves, também negra, com quem teve quatro filhos, todos mortos prematuramente por tuberculose, levando-a à loucura.



Morte

Faleceu a 19 de março de 1898 no município mineiro de Antônio Carlos, num povoado chamado Estação do Sítio, para onde fora transportado às pressas vencido pela tuberculose. Teve o seu corpo transportado para o Rio de Janeiro em um vagão destinado ao transporte de cavalos. Ao chegar, foi sepultado no Cemitério de São Francisco Xavier por seus amigos, dentre eles José do Patrocínio, onde permaneceu até 2007, quando seus restos mortais foram então acolhidos no Museu Histórico de Santa Catarina - Palácio Cruz e Sousa, no centro de Florianópolis.



Cruz e Sousa é um dos patronos da Academia Catarinense de Letras, representando a cadeira número 15.



Análise da obra

Seus poemas são marcados pela musicalidade (uso constante de aliterações), pelo individualismo, pelo sensualismo, às vezes pelo desespero, às vezes pelo apaziguamento, além de uma obsessão pela cor branca. É certo que encontram-se inúmeras referências à cor branca, assim como à transparência, à translucidez, à nebulosidade e aos brilhos, e a muitas outras cores, todas sempre presentes em seus versos.



No aspecto de influências do simbolismo[3], nota-se uma amálgama que conflui águas do satanismo de Baudelaire ao espiritualismo (e dentro desse, ideias budistas e espíritas) ligados tanto a tendências estéticas vigentes como a fases na vida do autor.



LÉSBIA


 
Cróton selvagem, tinhorão lascivo,

Planta mortal, carnívora, sangrenta,

Da tua carne báquica rebenta

A vermelha explosão de um sangue vivo.



Nesse lábio mordente e convulsivo,

Ri, ri risadas de expressão violenta

O Amor, trágico e triste, e passe, lenta,

A morte, o espasmo gélido, aflitivo...



Lésbia nervosa, fascinante e doente,

Cruel e demoníaca serpente

Das flamejantes atrações do gozo.



Dos teus seios acídulos, amargos,

Fluem capros aromas e os letargos,

Os ópios de um luar tuberculoso...



-- Cruz e Sousa / Broquéis (1893).


Embora quase metade da população brasileira seja não-branca, poucos foram os escritores negros, mulatos ou indígenas. Cruz e Sousa, por exemplo, é acusado de ter-se omitido quanto a questões referentes à condição negra. Mesmo tendo sido filho de escravos e recebido a alcunha de "Cisne Negro", o poeta João da Cruz e Sousa não conseguiu escapar das acusações de indiferença pela causa abolicionista. A acusação, porém, não procede, pois, apesar de a poesia social não fazer parte do projeto poético do Simbolismo nem de seu projeto particular, o autor, em alguns poemas, retratou metaforicamente a condição do escravo. Cruz e Sousa militou, sim, contra a escravidão.

Tanto da forma mais corriqueira, fundando jornais e proferindo palestras por exemplo, participando, curiosamente, da campanha antiescravagista promovida pela sociedade carnavalesca Diabo a quatro, quanto nos seus textos abolicionistas, demonstrando desgosto com a condução do movimento pela família imperial.



Quando Cruz e Sousa diz "brancura", é preciso recorrer aos mais altos significados desta palavra, muito além da cor em si.



Obras


Broquéis (1893, poesía)

Missal (1893, poemas en prosa)

Tropos e Fantasias (1885, poemas en prosa, junto a Virgílio Várzea)

Obra póstuma

Últimos Sonetos (1905)

Evocações (1898, poemas em prosa)

Faróis (1900, poesía)

Outras evocações (1961, poema em prosa)

O livro Derradeiro (1961, poesía)

Dispersos (1961, poemas em prosa)


Homenagem

Há no município de Florianópolis, onde ele nasceu, uma casa antiga ao lado da praça XV de Novembro, chamada de palácio Cruz e Sousa, onde encontram-se seus restos mortais. Além disso, vários municípios o homenageiam usando seu nome para nomear ruas e avenidas.

Renúncia de Dom Pedro de Alcântara em 1908


Dom Pedro de Alcântara e sua esposa

JB SIQUEIRA NETO
Carta de renúncia de Dom Pedro de Alcântara. 



Eu o Principe Dom Pedro de Alcantara Luiz Philippe Maria Gastão Miguel Gabriel Raphael Gonzaga de Orleans e Bragança, tendo maduramente reflectido, resolvi renunciar ao direito que pela Constituição do Imperio do Brazil promulgada a 25 de Março de 1824 me compete à Corôa do mesmo Paiz.

Declaro pois que por minha muito livre e espontanea vontade d'elle desisto pela presente e renuncio, não só por mim, como por todos e cada um dos meus descendentes, a todo e qualquer direito que a dita Constituição nos confere á Corôa e Throno Brazileiros, o qual passará ás linhas que se seguirem á minha conforme a ordem de successão estabelecida pelo Art. 117. Perante Deus prometto por mim e meus descendentes manter a presente declaração.



Cannes 30 de Outubro de 1908



assinado: Pedro de Alcantara de Orleans e Bragança






Nota:



a) Esse ato de renúncia foi emitido em três vias e assinado na presença da Princesa Da. Isabel de Orleans e Bragança, de jure Imperatriz do Brasil, e membros da Família Imperial.



b) Em 9 de novembro de 1908, a Princesa Isabel enviou uma das três vias ao Diretório Monárquico do Brasil, no Rio de Janeiro.